Au cours des dernières années, la création cinématographique de l'Amérique latine, de l'Afrique et de l'Asie a beaucoup fait parler d'elle. Quelques uns des films les plus innovateurs, parmi les plus personnels et des plus stimulants arrivaient dans nos salles de ces continents du Sud. Parmi eux, on compte Yi Yi d'Edward Yang, Bombón el perro de Carlos Sorín, El viaje de Fernando Solanas, Lagaan d'Ashutosh Gowariker, The Goddess of 1967 de Clara Law, Bab'Aziz de Nacer Khemir, Nobody Knows d'Hirokazu Kore-eda, Bodhi Dharma de Bae Yong-kyun, TGV de Moussa Touré et La vida es silbar de Fernando Pérez.
Walter Ruggle est critique de cinéma. Il a été rédacteur culturel au Tages-Anzeiger de 1984 à 1999 et dirige aujourd'hui la Fondation trigon-film. A l'aide de textes et d'interviews, il invite à un voyage vers d'autres mondes cinématographiques. Il propose en outre, au moyen de films choisis, des aperçus des sujets, des approches et des questions qui occupent les cinéastes d'ailleurs. Le livre est conçu à la fois comme livre de texte et recueil photographique et offre des rencontres, en images et dans ses réflexions, avec les cultures cinématographiques du monde, de ce monde.
Walter Ruggle, Le monde à voir, préface de Freddy Buache, traduction et postface de Martial Knaebel
504 pages, 280 photos, impression couleur
Couverture souple, format 24 x 16.5 cm
Langue français
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